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LES NEWS
LA CONJONCTURE  IMMOBILIERE EN FRANCE (début 2021)

Un point en Juin 2022
Sur un marché fortement chahuté depuis le début de l’année, les achats de logements anciens réalisés par des particuliers ont reculé de 1.8 % durant les 3 derniers mois, en glissement annuel. Mais les évolutions restent très différentes entre les régions. Compte tenu de l’ensemble des déséquilibres auquel le marché de l’ancien est confronté depuis plus d’un an, sur le 1er quinquamestre 2022 les achats sont en repli de 5.0 %, en glissement annuel (de 15.2 % par rapport au 1er quinquamestre 2019) et ils se situent à 9.0 % sous leur niveau moyen de longue période.
Lyon : les prix de l’immobilier amorcent leur décrue
Le marché lyonnais perd de sa vigueur. Pour la première fois depuis des mois, les prix des logements lyonnais ne progressent plus et affichent même un léger recul. Une baisse renforcée par une valeur pierre devenue hors de portée pour beaucoup ainsi que par l’exode de la demande hors les murs. 

Un point en Octobre 2022
Depuis l’automne 2021, le marché de l’ancien se dégrade. Les achats réalisés par les particuliers reculent, compte tenu du resserrement de l’accès au crédit décidé par la Banque de France écartant du marché une large partie des acquéreurs potentiels et tout particulièrement les primo-accédants.
Les prix des logements continuent cependant à s’élever avec des disparités importantes selon les secteurs et les profils de biens. Sur le marché des appartements, la hausse des prix est moins rapide que pour les maisons et c’est  dans les villes de moins de 60 000 habitants que la progression des prix des appartements reste la plus rapide.
Le recul de la demande s’est amplifié depuis le début de l’année 2022, dans un environnement économique et financier dégradé et il paraît peu probable qu’à elle seule l’augmentation des taux des crédits soit responsable de la dégradation de l’activité du marché de l’ancien. D’autres paramètres contribuent à ce phénomène tel que l’accélération de l’inflation, la perte de pouvoir d’achat et la dégradation rapide du moral des ménages.

Un point en Mars 2023
La dégradation du marché immobilier se poursuit puisque l’on enregistre un recul de 29.6 % des ventes en Janvier 2023 par rapport à Janvier 2022. Le blocage est lié à plusieurs sources. Tout d’abord, l’augmentation des prix des logements a nettement dégradé la capacité des ménages à investir. Par ailleurs, la remontée des taux se maintient pour dépasser les 3 % sur des prêts à 25 ans.
Même si la révision du taux d’usure devenue mensuelle depuis peu a aidé à l’attribution des prêts, les banques continuent à exiger des emprunteurs, un apport conséquent qui est souvent supérieur à 15 %. Les prix de vente sont en recul dans les grandes villes et par voie d’ effet, toujours en légère hausse sur les premières couronnes des agglomérations. D’une manière générale, les vendeurs ont « perdu la main » face à des acquéreurs qui sont moins nombreux. L’année 2023 s’annonce difficile et les professionnels de l’immobilier auront pleinement leur rôle à jouer pour aider les vendeurs.

Un point en Juin 2023
L’effondrement du marché des crédits immobiliers aux particuliers est sans précédent, en raison de sa violence, de sa durée et de son impact sur les marchés immobiliers. La quasi-totalité des marchés immobiliers est en récession. On peut craindre que sous l’égide des autorités monétaires, la stratégie adoptée soit de restreindre l’accès au crédit afin de faire baisser les prix des logements et ainsi de relancer automatiquement la demande. Ce qui a véritablement impacté la demande de crédit n’est pas fondamentalement l’évolution des taux d’intérêt mais plutôt l’exigence d’un taux d’effort qui est plafonné à 35 %. Cette exigence d’apport personnel qui se cache derrière le taux d’effort limité à 35 % a ainsi été à l’origine du formidable recul de la demande de crédit. La situation de la profitabilité des banques sur les nouveaux crédits accordés est meilleure, Cette dernière devrait encore s’améliorer au cours de l’été. Nous devrions ainsi assister à un lent et léger rebond de la production de crédits vers la fin de l’année, Mais nous n’assisterons pas, pour autant, à un redémarrage fulgurant de l’activité des marchés immobiliers.
 
Un point en novembre 2023
Nouvelle dégradation de l’activité en septembre :
Les prix des logements anciens ont reculé durant les mois d’été et cette année, sur un marché moins dynamique, le sursaut des prix souvent constaté en septembre n’était pas au rendez-vous. Partout la demande a évolué. Elle se déplace sur les territoires, se relocalisant sur les marchés où les prix sont en meilleure adéquation avec leur capacité budgétaire et financière. Car elle est bridée par les exigences d’apport personnel qui lui sont imposées : l’augmentation des taux n’ayant, le plus souvent, fait que rendre plus difficile le respect de la contrainte de taux d’effort imposée par la Banque de France. Comme la demande bute sur la contrainte d’accès au crédit qui lui est imposée, les prix des appartements reculent sur les métropoles de Bordeaux, Lyon, Nantes, Paris et Rennes. Sur un marché qui se dégrade toujours, le niveau des marges de négociation augmente, bien au-delà des niveaux élevés constatés par le passé. En septembre, il s’est établi à 7.4 % pour l’ensemble du marché (+ 67 % sur un an).

Un point en mars 2024
Le printemps refleurit aussi pour les marchés de l’immobilier résidentiel !
Certes, le chemin du retour à la normale sera long,
La baisse des taux des crédits immobiliers paraît bien enclenchée et l’offre de crédits se redresse.
Le plus surprenant est qu’en dépit d’un soutien public à la rénovation énergétique des logements, l’usage des crédits destinés au financement des travaux sur le logement a reculé.
La montée des incertitudes économiques et le dérapage de l’inflation ont commencé à nettement peser sur l’appétence des ménages pour l’immobilier et si le rebond est encourageant, la reprise va être lente et elle risque d’être encore hésitante.

Un point en avril 2024
Le nombre de transactions est en retrait de -11,2 % par rapport au 1er trimestre 2023.Les délais de vente s’allongent encore de 9 jours en moyenne pour atteindre des niveaux jamais égalés : 103 jours pour une maison et 100 jours pour un appartement. Pourtant, des changements s’amorcent : depuis janvier 2024 les taux d’intérêt refluent, l’inflation ralentit, les banques ouvrent à nouveau les vannes du crédit et les pouvoirs publics se sont emparés du thème du logement. Il faudrait que les prix s’ajustent et compensent des taux demeurant élevés. En 2012, le prix moyen d’une maison était 19 % moins cher qu’aujourd’hui et celui d’un appartement 17 % moins élevé. Pour retrouver un marché immobilier dynamique, l’offre et la demande doivent se réconcilier.






Ces titres sont issus des articles qui synthétisent les principaux résultats du baromètre LPI-SeLoger, de l’Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels (Crédit Logement/CSA) et de l’OPCI, l’Observatoire de la Production de Crédits Immobiliers. Les publications sont durant la période allant d'avril 2021 à Avril 2024.

 


MEDIATION DE LA CONSOMMATION


Médiation de la consommation :
Pour tout litige afférent à l’exécution du présent mandat, le mandant, s’il est un «consommateur» au sens de l’article liminaire du code de la consommation, est informé 
qu’il peut saisir le médiateur de la consommation, soit par voie électronique 
à www.anm-conso.com, soit par courrier postal à l'attention de l’ANM Conso, 
62 rue Tiquetonne, 75002 Paris
 
RGPD
Les informations que vous aurez communiquées à l'Agence IMMOTREFLE sont uniquement destinées au rapprochement des offres dont elle dispose ou disposera avec votre recherche d'un bien immobilier. Celles-ci sont déposées dans un logiciel de transaction nommé HEKTOR et pour lequel, l'agence IMMOTREFLE a un contrat de location avec le société LA BOITE IMMO qui reconnaît l'Agence IMMOTREFLE comme étant le propriétaire exclusif des données qu'elle lui a transmises. Leur durée de conservation est de un an comme choisi par l'agence IMMOTREFLE. Vous pouvez néanmoins avant ce délai d'un an, demander à l'Agence IMMOTREFLE, la suppression des informations vous concernant. Cette demande peut être formulée comme suit : "Je refuse de recevoir des informations sur l'immobilier de la part de l'agence IMMOTREFLE (raison sociale MIDIMMO établie 5 avenue Roland Delachenal à Crémieu 38460) et lui demande de supprimer toute donnée dont elle disposerait et qui me concerne."


NOS PARTENAIRES
 
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Courtage en banque
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nb: nous informons notre clientèle qu'un contrat d'indicateur d'affaire a été établi entre la société AUXILIUM GESTION représentant la marque ACE et la société MIDIMMO (raison sociale de l'agence IMMOTREFLE). 
 
Assurance professionnelle
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NOS REPONSES


VALIDITE D'UN MESURAGE LOI CARREZ.
La validité d'un diagnostic de mesurage (loi carrez) est illimitée en l'absence de travaux intérieurs ayant modifié la distribution des pièces. Toutefois même si vous possédez cet ancien document, nous vous conseillons lors de la mise en vente d'un bien, de faire réaliser un nouveau mesurage par un diagnostiqueur de votre choix.
En effet, si un écart supérieur à 5 % était constaté entre les surfaces relevées après la vente et celles indiquées sur le nouveau diagnostic, le diagnostiqueur concerné serait appelé en responsabilité et appellerait son assurance professionnelle à indemniser l'acquéreur lésé si ce dernier intente une action en diminution du prix.
En l'absence de nouveaux diagnostics, vous ne pourriez vous retourner contre l'ancien diagnostiqueur avec qui vous n'avez pas contracté et seriez obligé(e) d'indemniser votre acquéreur.
A titre indicatif, le coût d'un mesurage loi carrez est en moyenne de 150 €.

Nouveau DPE (Diagnostic de Performance energétique) 2021.
Pour vendre ou louer un bien immobilier, il y a obligation de faire réaliser par un spécialiste, des diagnostics.
Parmi ceux-ci, l’un des plus importants est le DPE,  Diagnostic de Performance Energétique.
Ce diagnostic indique la quantité d’énergie qui est nécessaire pour chauffer le bien mais aussi le niveau d’émission de gaz à effet de serre (GES) de son installation de chauffage.
Ce diagnostic est uniquement informatif ; c'est-à-dire qu’il n’impose pas de faire les travaux…mais il est devenu extrêmement important pour les trois principales raisons suivantes :
  • Par soucis d’économie
  • Par respect de l’environnement
  • Par contrainte légale
Sur ce dernier point, la récente loi sur le climat et la rénovation énergétique prévoit le calendrier des étapes de restriction liées au DPE 2021 suivant :
A partir du 1er janvier 2025, le bien sera interdit à la location si le classement DPE est G
A partir du 1er janvier 2028, le bien sera interdit à la location si le classement DPE est F ou G
A partir du 1er janvier 2034, le bien sera interdit à la location si le classement DPE est E, F ou G

Les travaux d’amélioration seront alors à réaliser et à faire valider par un nouveau diagnostic afin de remettre le bien en location.
Pour la vente, celle-ci sera toujours possible mais l’acte de vente stipulera le « mauvais » classement du DPE et les limitations qui vont avec  pour la location.
Compte tenu du coût des travaux à envisager pour améliorer le DPE, j’estime qu’un abattement de 10 à 20 % du prix de vente pourrait être à déduire.
Depuis le 25 août 2022, les logements classés F ou G ont vu leurs loyers bloqués et un audit réglementaire est alors à réaliser en complément du DPE (sauf pour les biens soumis au régime de la copropriété).

Il faut également retenir que d’une manière générale, l’état oriente la rénovation énergétique vers le tout électrique ce qui rend les installations au gaz ou au fioul déjà obsolètes.
 
Remarque : le DPE est désormais opposable : c'est-à-dire qu’il engage la responsabilité du vendeur et que celui-ci peut avoir à verser une indemnité à l’acquéreur pour compenser le coût des travaux engagés pour l’amélioration énergétique du logement.

 


BAREME D'HONORAIRES DE L'AGENCE

LES HONORAIRES DE L'AGENCE SONT TTC ET SONT CALCULES SUR LE PRIX DE VENTE (lorsque les honoraires sont à la charge du vendeur) OU SUR LE PRIX NET VENDEUR (lorsque les honoraires sont à la charge de l'acquéreur) SUIVANT LE MANDAT DE VENTE.

Pour tout bien situé dans un rayon supérieur à 50 kms de l'agence, les honoraires sont fixés d'un commun accord entre les parties.

Ce barème d'honoraires peut être révisé à la baisse dans certaines conditions (par exemple, lorsqu'un mandant est simultanément ou a été récemment acquéreur d'un bien dont notre agence est en charge de sa transaction).

Aucun honoraire et aucun frais ne sont dus avant la conclusion de tout contrat de vente.

HONORAIRES TTC CHARGE VENDEUR : calculés sur le prix de vente

Jusqu'à 30.000 €                                       nous consulter
De 30.001 €       à   150.000 €                             7 %                                                                         
De 150.001 €     à   250.000 €                            5,5 %
De 250.001 €    à   500.000 €                             5 %
Au delà de 500.000 €                                         4 %

HONORAIRES TTC CHARGE ACQUEREUR : calculés sur le prix net vendeur

Jusqu'à 27.890 €                                       nous consulter
De 27.891 €     à     139.442 €                               7,53 %
De 139.443 €     à     236.254 €                            5,82 %
De 236.255 €    à   475.285 €                              5,26 %
Au delà de 475.285 €                                           4,17 %